témoignages : comment la voyance par mail m’a aidé
C’était six ou sept semaines après ma dernière plus dispo sérieuse, et je me sentais véritablement ébranlé. À 18 ans, on croit parfois que la vie amoureuse est une partie de plaisir, mais une rupture pourrait tout bousculer : on se redécouvre seul, on doute de soi, on perd un repère passionnel. Moi, je passais mes nuits à me poser mille questions : « Suis‑je passé à côté de quelque chose ? Vais‑je retrouver ce mauvais penchant d’aimer ? Vais‑je être petit des années ? » Un soir, en scrollant sur mon phone, je suis tombé sur un article prônant la par courrier électronique tels que une manière réfléchi de recevoir un soutien extérieur personnalisé. Pas d’appel téléphonique anxiogène, pas de rendez‑vous aux environs de boucler : j’écrivais, j’envoyais, j’attendais. Curieux, j’ai rédigé un mail vers Olivier, la voyante recommandé, en lui mettant ma circonstance amoureuse, mes défiance, mes peurs, et en lui posant trois questions précises : « Comment calmer de cette séparation ? Vais‑je rencontrer une personne à nouveau dans les six futurs mois ? Qu’est‑ce que je dois changer en moi pour créer une relation saine ? » J’ai cliqué sur « livrer » et j’ai attendu, me quémandant si cette solution valait effectivement le coup d'échanger tant de choses personnelles avec un inédit.
quand la voyance par courrier électronique se montre un coup de levier pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai vignoble que j’allais se déchirer. Passer du lycée à l’université, cette façon de faire n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des examens écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes annotations ont commencé à allonger, et je me suis voyance olivier mis à hésiter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurante. Un soir de juillet, dans une situation délicate devant mes classiques de raison, je discute avec un amis qui me parle de la par mail : « T’as un problème, tu envoies un mail, et tu reçois un texte complet dans la journée ». Ça m’a semblé plus important qu’un tarot via un appel téléphonique ou un SMS de 3 mots. Alors j’ai tenté : j’ai écrit un mail à Olivier, initiant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes craintes, mes peurs, même mes mauvaises façons d'agir ( je séchais souvent les TD pour accrocher en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une diversité d’espoir et de scepticisme.